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 Non à l'hippophagie !!

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Alison2006
Timide
Timide
Alison2006


Nombre de messages : 13
Date d'inscription : 16/12/2006

Non à l'hippophagie !! Empty
MessageSujet: Non à l'hippophagie !!   Non à l'hippophagie !! EmptySam 16 Déc - 9:11

"C'est quoi ?" c'est quand on tue les chevaux pour les manger voila c'est quoi "c'est horrible !! " oui mais plein de gens en mange !!!


" SVP luttons contres l'hippophagie c'est tros horrible ! voici des textes contre ça :

"Chaque jour, 850 chevaux chevaux sont mangés en france.Ce qui fait un total de 310 250 chevaux mangés par an.Un chiffre qui fait froid dans le dos." Pourtant, les chevaux sont aujourd'hui aux même titre que les chiens et les chats, des animaux de compagnie.Et quant on demande aux hippophage de mangé un chien ou un chat, un air horrifié aparait sur leur visage!! "Ne devrait-il pas voir alors toute l'horreur de manger un animal aussi magnifique et extraordinaire que le cheval??"
Mais, hélas, qui parmi les hippophages se soucis réellement de savoir la souffrance des animaux pendant les transports vers l'abattoir? Qu'ils sont entassés dans les camions, qu'ils ont faim et soif??Qu'il y a des blessés mais qui ne sont pas soignés??Mais à quoi bon etre soignés ou pas du moment qu'ils arrivent a l'abattoir vivant ou pas. "Eh oui, pour que les hommes puissent manger de la viande, il faut que les animaux soient vidés de leur sang , et le sang s'écoule mieux d'un animal encore vivant.Une loi oblige les abattoirs à "étourdir" les animaux avant de les égorger, mais les méthode ne sont pas infaillibles.Et alors? Les hippophages se soucient-ils de savoir si le cheval est étourdi correctement avant d'être égorgé, s'il ne se réveille pas pendant l'égorgement?NON, certainement pas." Et c'est bien malheureux!!

Et il y en a d'autres :

Poeme CONTRE L'HYPPOPHAGIE:

Pendant que je suis assise confortablement,
Il est seul dans le noir, désespérant.
Pendant que je regarde la télé,
Il voit ses amis, maltraités.
Pendant que mon coeur est emplie de joie,
Le sien l'est d'effroi.
Pendant que je pense à mon 1er amour,
Lui songe à la lumière du jour.
Pendant que je danse,
Il est en proie à la souffrance.
Pendant que je prend un délicieux repas,
Il ferme les yeux pour la dernière fois...
TOUS UNIS CONTRE L'HIPPOPHAGIE !

Et encore cette fois-ci des histoires:

L'Histoire "d'Ange"...
J'étais dans mon box, j'étais heureux. Mais "ils" sont venus. Moi, innocent, j'ai passé la tête par la porte de mon box et j'ai poussé un joyeux hennissement en voyant tant de monde venir me dire bonjour. Et là, je "les" ai vu. Derrière eux, il y a avait des cavaliers du club qui pleuraient. Puis j'ai entendu ces mots que n'ai pas compris : "On ne peut pas avoir autant de chevaux, il faut bien ce débarasser de ceux qui ne nous sont pas indispensables. Or, Ange n'a pas eu de très bon résultats aux derniers concours..." Ange, c'est moi. "Ils" m'ont emmené dans un van que je ne connaissais pas. Dedans, il y avait aussi Canelle, une ponette qui s'était blessée à la jambe la semaine dernière. On a fait un voyage assez long, puis "ils" nous ont fait descendre dans une cour. Sa sentait bizarre. Le sang, la mort, le crottin .... Puis "ils" nous on fait monter dans un camion où il y avait déjà une dizaine de chevaux qui ont henni en nous voyant. Mais ce n'était pas un hennissement que je connaissait. C'était un hennissement de peur, de douleur, de détresse. Et là, j'ai commencé à ressentir la Peur, la vraie Peur. Cette Peur que l'on ressent quand on ignore quelque chose de capital. Dans le camion, l'odeur s'est emplifiée. C'était insuportable. Puis le camion a démarré brutalement. On a roulé longtemps. J'avais faim, j'avais soif. En voyage, j'ai fais la connaissance du cheval qui était à côté de moi. C'était Indy, un hongre. Il avait une blessure à la jambe qui s'infectait peu à peu. Puis "ils" ont fait monter d'autres chevaux. Pour qu'on se pousse, "ils" nous on fouetté. Indy a trébuché, il est tombé et un cheval lui a marché sur la jambe. Il ne pouvait plus se relever. Après quelques heures de souffrance horribles, il s'est éteint. Puis son corps a commencé à sentir. C'était horrible! Peu à peu, d'autres chevaux se sont éteints. De soif, de faim, de blessures, de désespoir. Enfin, le camion s'est arrêté."Ils" ont ouvert la porte. La lumière m'a aveuglé. Les autres chevaux voulaient sortir. Ils m'ont poussé. Je me suis tordu la jambe. J'ai eu mal. Mais j'était obligé d'avancer. Dans d'interminables couloirs hanté par le sang, la peur, la Mort. J'ai entendu un cheval henir, j'ai reconnu Canelle. Ma petite Canelle si courageuse! Puis on est arrivé dans un grande salle avec un planché en fer. , "Ils"ont fermé la porte et nous on laissés là. Pas à boire, pas à manger. Un à un, beaucoup de chevaux sont morts. Ma Canelle aussi. Puis, un jour, "ils" sont venus me chercher. J'ai eu à boire. C'était bon. C'était la dernière chose que j'aurais eu de bon de ma vie. Ensuite, je suis entré dans un salle ou l'odeur, l'ambiance, m'a fait paniquer. Je me suis cabré,et je me suis pris un coup de gourdin dans les jambes. Puis, "il" est entré. J'ai senti quelque chose entrer dans ma gorge. J'ai eu mal. Je me suis senti faible. Je me suis couché. Ou plutôt, je suis tombé. Et j'ai su!La fin approchait... J'ai eu mal au coeur. J'ai fermé les yeux. Soudain plus rien...
ange est mort. Il a rejoint le paradis des chevaux où il a retrouvé Indy et Canelle. Cette histoire ne possède AUCUNE exagération. Tous les jours, des centaines de chevaux subissent ça. Cette histoire est horrible alors copiez la partout pour les chevaux. Ils faut que les choses changent car aucun cheval même aucun animal ne mérite une chose pareille.

l'Histoire de Valmy



Je m'appelle Valmy, ou plutôt, je m'appelais Valmy. J'étais assez heureux dans mon box,



je travaillais, et on me nourissait.



Mais un jour, j'ai commencé a me fatiguer :



un cavalier m'a trop poussé, et l'obstacle m'a fait tombé.



Je ne pouvais plus sauter.



Pendant quelques temps, je n'ai plus rien fait, je restais au box et mes rations ont commencé a diminuer : j'étais affaibli... puis un camion est arrivé.



Quelqu'un est venu me chercher et m'a conduit devant.Ils l'ont ensuite ouvert pour que je puisse y monter. L'homme me tenais fermement.



J'ai commencé à avancer puis j'ai vu d'autres chevaux, ils étaient trés énervés, peureux et bougeaient dans tout les sens.



J'ai commencé a sentir l'odeur du sang alors je n'ai pas voulu monter. J'ai reculé mais l'homme tenait déja une chambriére a la main. Il la fait claquer et m'en donna un grand coup dans les flancs. Je me suis cabré mais d'autres humains sont arrivés... 15 mn plus tard j'était dans le camion. Mes flancs étaient brûlants de douleur...



Le camion s'est mit en marche.



Les chevaux qui étaient là avant moi étaient paniqués et moi je le devenais de plus en plus.



Petit à petit, la soif m' envahissait et l'odeur du sang ne s'était toujours pas dissipée.



Au bout de 10 heures de route nous sommes arriver en un autre endroit : il faisait sombre et il y avait des dizaine d'autres camions dont 2 très grands, où des chevaux avaient été entassés.



Des hommes sont venus et nous ont tirés hors du véhicule puis conduits vers un de ces énormes engins. Il y avait baucoup d'autres chevaux. Ils hénissaient de détresse, se cabraient ...



Des hommes les frappaient pour avancer.



Aprés étre rentrés, le calvaire a vraiment commencé : Les chevaux et poneys étaient retenus par des cordes peu solides mais attachées et en un coup de frein une dizaine de chevaux tombèrent. Dans la panique, certains se sont cabrés en en écrasant d'autres.



Moi j'étais par terre et je ne pouvais plus me relever, ma blessure me soudait au sol.



Quelques minutes plus tard le camion s'arréta encore brusquement et la même histoire se répéta.



Là, j'ai commencé à voir le sang, il coulait le long du camion.



Un de mes congénères qui était tombé se releva brusquement et marcha sur un de mes postérieurs.



J'était paralysé.



De plus en plus de chevaux tombèrent et ne se relevèrent pas... puis mes yeux se fermèrent... j'avait trop soif.



Nous avons roulé comme cela pendant près de 3 jours entiers.



Arrivés devant un batiment le camion s'est arrêté. Je ne pouvais plus me lever, la douleur était trop grande...



Les chevaux etait criblés de blessures. Certains, comme moi ne pouvaient plus marcher.



Ils sont venus et nous tiraient. Nous avions beau lutter ils était forts et nous trop fatigués.



Des gens son venus vers moi et on essayé de me faire lever à coups de pied et de cravache .



Mais je ne pouvais faires de gestes.



Alors un autre et arrivé et ils m'ont tiré par les membres, je henissais de toutes mes forces mais elle m'abandonnaient, peu à peu...



Plusieurs chevaux agonisaient, d'autres étaient deja morts...



puis on m'a trainé jusque dans une salle ou des hommes m'on assomé, j'ai senti une, puis deux, puis trois... douleurs au niveau de l'encolure...



Les hommes étaient en train de me saigner...







Peu à peu, j'ai quitté la vie, où plutôt la vie m'a quitté... la douleur était trop forte, je voulais et devais en finir... puis il m'ont trainé et m'ont attachés les membres postérieurs à des chaînes, me voilà maintenant la tête en bas.



Dans un dernier espoir d'aide, j'ai henni. Puis, plus riien, le pic a traversé ma gorge.


L'histoire d'un malheureux poulain...

Je n’avais que 6 mois et demi, lorsque l’éleveur vint me chercher au petit matin, ma mère dormait encore…Il me passa un licol, et m’emmena, je pensais qu’on allait se promener alors je me laissai faire…Il m’emmena vers un énorme camion dans lequel il avait d’autres chevaux, et ils hennissaient tous plus forts les uns que les autres…J’entendis tout un coup l’hennissement de ma mère, je voulus la rejoindre, mais l’homme m’en empêcha…il me tenait, et je tirai de toutes mes forces pour rejoindre « maman », mais quelque chose me fit mal, et j’arrêtai de tirer…on m’obligea a coup de fouet et de bâton à monter…



-Maman, pourquoi tu ma laisser partir, pourquoi tu ma pas sauver, pourquoi, pourquoi ? Je restai silencieux durant tout le voyage…

Il dura plus de 20 heures, on devait rester debout, je commençais à avoir soif et faim, je hennis espérant que l’on me donne eau et nourriture, mais je n’eu rien…On nous débarqua dans un immense hangar humide et sombre. Je fus le premier à sortir.On m’attacha plus loin, et je pus voir, avec des yeux de 6 mois, la mort…plusieurs cadavres de chevaux, de poulains étaient sortit, puis étendus devant moi, devant mes yeux…On me tira de force dans un couloir…je hennis plus fort, me volant mes dernières réserves de santé…On me forçat à avancer, et puis tout d’un coup, quelque chose me tomba dessus, je n’eu pas le temps de regarder, mais je pus sentir, un liquide chaud, qui coulait sur mes membres avant… et je compris l’incompréhensible...J’étais en train de mourir, et mes dernières pensées fut pour ma mère, elle qui aujourd’hui était si loin de moi, elle qui, dès demain revivra la même histoire, avec autre poulain, et son calvaire ne se finira que, lorsqu’elle n’aura plus la force de donner la vie, pour qu’on lui prenne aussi vite
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